et si après tout ce temps d'un coup je*
janvier passé dans la douleur et la censure et la misère et l'horreur et l'effroi et fevrier putain voilà fevrier merde fevrier.
la fievre. le levrier. serai-je peut-être alors une sorte de chienne lubrique fievreuse (mais) (non, rougis) ou pas ou pas ou si ou non ou crache, crache. bof. j'irai pas jusqu'à non-dire mais en fait si, et en profondeur. comme un frigo vide.
j'aime pas quand on fait soudainement comme si j'existais. ou alors. j'aime pas quand soudainement j'existe et que les gens se rendent compte. ou alors. j'aime pas qu'on se rende soudainement compte que j'existe. C'EST LE RETOUR des EMmerdeS. mais les gens, autrui, là, la souillure, qu'on que JE les fende à coups de hache, et tu verras ils deviennent des insert coin operated ppl. mais vous êtes baisés les gluons, je n'ai jamais. vous ne me plaisez pas tellement. (euphorisme, ici)
je sais plus si je suis encore une entité à part entière, individuelle et j'unique. je crois que non. ça dépend de ce que j'ai dans la tronche, mon /@ hein, pas des aiguilles dans les gencives ou de la vilaine drogue dans le sang. pas du tout_ _ __ __ _ non. mon assertion préferée "quand tu t'en fous tu, foutu" ne fonctionne plus et c'est franchement regrettable.
le monde à l'endroit, j'y ai jamais vraiment tenu.